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aime moi. aime moi comme jamais, et reste pour l'éternité. broken heart classé dans : amour , blessure , manque , peur , tristesse — 3 août, 2015 @ 10:38 j’ai enfin réussi à prendre une grosse décision dans ma vie. j’ai décidé de m’arrêter là, de te laisser seul chez toi. mais quand on s’arrête, ne le fait-on pas pour de bon ? pourquoi moi je reste là, à t’attendre, à attendre que tu viennes me chercher, me sortir de ma douleur, me dire que tout ira bien et que tu es là, que tu m’aimes, et que tu ne me laisseras plus jamais partir ? pourquoi tu ne m’as pas retenue ? pourquoi tu m’as laissé faire ça, pour que je finisse par le regretter ? je ne cesse de penser à toi. tout me ramène à toi. j’ai besoin de toi. mais j’ai tellement mal, tu sais, mon cœur se déchire, et mes yeux explosent. j’ai l’impression d’avoir fait une grosse erreur, pourtant je sais que je devais le faire. je souffrais trop, j’avais trop mal, mais je crois que je souffre encore plus maintenant. je souffre de ton manque, de l’idée de te perdre pour de bon. tu m’avais dit « si tu me quittes, je ferai tout pour te récupérer, car je t’aime », et je crois que j’y ai trop cru, j’ai trop compté là dessus. j’ai trop espéré que tu fasses tout pour me ravoir, que tu me montres à quel point tu m’aimes et tu tiens à moi. j’ai trop espéré que tu tiendrais tes paroles. j’me rends compte que ça ne sera peut-être pas le cas, tu trouveras peut-être quelqu’un d’autre, qui acceptera tes faux pas mieux que moi. j’suis désolée encore une fois d’avoir fait ça, c’est pas vraiment ce que je voulais, mais je ne sais plus ce que je veux. je sais ce dont j’ai besoin, mais ça tangue entre « toi » et « être heureuse ». j’avais juste envie d’être heureuse en étant avec toi, ça marchait plutôt bien avant, je comprends pas que tu aies changé tout ce que j’aimais chez toi, comme ça, sans prévenir. et malgré tout ça, je continues à t’aimer, malgré tout le mal que tu me fais, je suis toujours aussi dingue de toi, j’aimerais bien que quelqu’un m’explique ce que c’est si, ça, ce n’est pas le vrai amour. alors je continues de t’attendre, d’attendre que tu viennes me récupérer. peut être que tu t’excuseras, que tu me diras que j’ai fait une grosse bêtise et que tu m’aimes plus que n’importe qui et n’importe quoi, que tu ne veux pas me perdre et que tu as besoin de moi. c’est ça dont j’ai besoin, de ces preuves d’amour que tu ne me donnes plus. alors j’espère que tu as compris le message dans mon dernier baiser qui voulait dire « je compte sur toi, je t’aime ». pas de commentaire -- lost soul. classé dans : blessure , peur , solitude , tristesse — 1 avril, 2015 @ 10:14 je déraille. plus ça va, plus j’ai l’impression de devenir folle, de me faire des films à longueur de journée. je sais plus quoi croire, qui croire.. je me perds moi-même. je me pose sans doute trop de questions. dites-moi que je suis complètement folle, mais que ça se soigne. dites-moi qu’un jour, tout cela cessera, que tout ira bien. j’ai besoin d’y croire. pas de commentaire -- confiance rompue. classé dans : blessure , confiance , tristesse — 27 février, 2015 @ 7:15 je n’arrive plus à t’accorder ma confiance. tu l’as eue auparavant, mais tu l’as perdue. quand on joue avec le feu, on finit par se brûler, et c’est comme si tu avais joué de ma confiance. si encore tu faisais en sorte de la ravoir, peut-être qu’arriverait un jour où je te la redonnerais, mais en agissant de la sorte, c’est impossible pour ma part. tu avais mon entière confiance, avant. pas de commentaire -- missing heart. classé dans : manque , tristesse — 27 janvier, 2015 @ 9:15 avez-vous déjà connu ce manque si intense, si insoutenable ? ce même manque qui vous rend fou, qui vous donne mal à la tête. celui-même qui vous déchire, qui vous torture, qui vous donne envie de crever. c’est ce manque-là que je vis. je me suis vidée de moitié, j’ai cette partie de moi-même totalement vide. c’est cette partie-là que je lui avais réservée, c’est ce tout qu’il prenait en moi. c’était même la meilleure partie de moi. pas de commentaire -- burning heart. classé dans : amour , blessure , solitude , tristesse — 11 janvier, 2015 @ 6:25 deux semaines de pur désastre. j’ai perdu mon tout, ma moitié, ma raison d’être, mon bonheur. ma raison me dit de continuer à espérer, de me persuader qu’il reviendra, que tout s’arrangera. mais qu’est-ce que la raison dans ces moments-là ? peut-on seulement s’attacher à un infime espoir, et le laisser guider nos journées, notre vie ? et si tout cela venait à s’écrouler, une fois de plus, que serions-nous ? on ne peut pas réparer deux fois un cœur brisé, surtout par la même personne. le cœur est fragile, il n’est pas conçu pour surmonter autant de peine, il ne survivrait pas. doit-on dans ce cas essayer de se persuader que c’est fini ? que plus rien ne sera comme avant, que notre vie ne sera plus aussi magique qu’elle l’était, avec cette personne tant aimée ? c’est peut-être bien la chose la plus dure, parce qu’on abandonne. on baisse les bras, on rend les armes. à trop aimer, on finit toujours par souffrir. on pense toujours que ces histoires n’arrivent qu’aux autres, jusqu’au jour où les autres c’est nous. et alors là, notre monde entier s’écroule. mon monde entier à moi est parti en fumée. pas de commentaire -- misery. classé dans : amour , blessure , dispute , manque , peur , solitude , tristesse — 25 décembre, 2014 @ 3:35 rien n’est plus comme avant. on a beau être dans des périodes de noël, je n’arrive même pas à faire semblant d’aller bien. tout s’effondre. j’ai l’impression d’être en train de tout perdre, comme si j’avais misé toute ma vie au poker, ne sachant pas jouer. tu m’échappes, je te sens partir peu à peu. petit à petit tu deviens un inconnu, je ne reconnais plus rien. je n’arriverais même pas à aller de l’avant si le pire venait à arriver, tu sais, tout ce que tu penses à propos de moi, c’est faux. en réalité je suis beaucoup plus faible que ça, j’ai tellement besoin de toi. pas de commentaire -- cauchemar anarchique. classé dans : blessure , dispute , peur , solitude , tristesse — 24 décembre, 2014 @ 7:20 rien n’allait. c’était anarchique. on se tenait en face l’un de l’autre, tes propos étaient durs, alors je te suivais sur ce chemin pour ne pas te montrer ma faiblesse. ça n’avait jamais été électrique. nous sommes montés dans cette voiture, tous les deux à l’arrière. et là, une question me hantait, je n’arrivais pas à y répondre seule, il fallait que je te demande. peut-être n’aurais-je pas du. je t’ai regardé droit dans les yeux et je t’ai demandé si tu m’aimais encore. j’aurais voulu être sourde et ne pas entendre ta réponse, ou mourir d’un arrêt cardiaque juste avant. tu m’as regardé droit dans les yeux, et ta réponse a été « non ». là est tout le malaise, mes larmes commençaient à couler, j’avais l’impression de sentir mon coeur se déchirer. tout se fracassait, j’étais anéantie. je pleurais sans m’arrêter en essayant de te faire changer d’avis, mais ton regard si noir, si froid et si dégoûté me glaçait le sang. je ne savais pas quoi faire, la moitié de mon coeur s’en allait, me laissait tomber, en même temps que toi tu me laissais tomber. en voulant partir, tu faisais tellement de dégâts à l’intérieur de moi. et puis doucement je me suis réveillée, avec ce poids au coeur, qui m’a fait pleurer. j’avais l’impression que tout était réel, que tu ne voulais plus de moi, qui sait ? j’ai tellement l’impression que tu me laisses tomber petit à petit que j’en meurs à petit feu. je sais que tu m’es vital et que ce ne sont pas des paroles balancées en l’air, non, c’est simplement la réalité, parce que je sais que sans toi ma vie ne rimerait à rien, elle serait ruinée. tu auras tout détruit sur ton passage, tu auras laissé trop de marques impossible à effacer. pas de commentaire -- don’t let us burn. classé dans : amour , blessure , tristesse — 30 novembre, 2014 @ 6:09 j’ai tellement mal au cœur, si tu savais. je ne comprends pas pourquoi on se déchire comme ç